Le succès ne s'est pas démenti : le Japon s'est trouvé une figure littéraire incarnant la résistance à l'exploitation, la dénonciation de ce commerce de dupe, où la rivalité entre le pays et la Russie de l'époque menait à des affrontements en mer pour obtenir la meilleure des pêches.
En fait, il nous parle d'un temps, dans les prémices de l'histoire du capitalisme, où le prolétariat n'avait pas grand-chose pour survivre...
Le bateau-usine de Kobayashi Takiji, plus qu'un témoignage, une leçon.