Dernièrement, je relayais un article qui nous expliquait que « la Société Générale nous dévoile que « le pire scénario de la dette » est devant nous ». On en remet une couche aujourd’hui dans Le Monde:
« Dubaï a fait trembler, jeudi 26 novembre, plusieurs marchés financiers internationaux et provoqué une chute des obligations islamiques au lendemain de l’annonce de son incapacité à honorer à temps une partie de sa dette. L’annonce a affecté les marchés financiers en Asie, où les obligations islamiques (soukouks) ont reculé de 15 %. »