...le rumeur court depuis quelques temps déjà, Avatar version IMAX serait plus court d'une trentaine de minutes que la
version non-IMAX, pour des raisons techniques (il n'est pas possible de dépasser les 2h40 pour ce type de projection). Du coup, pour les vrais de vrais, il faudrait pointer deux fois, pour le
voir dans son intégralité, et dans sa plénitude visuelle. Les contraintes techniques sont un heureux hasard, et le hasard fait bien les choses, pour les petits producteurs dans le
besoin. Je sais pas pourquoi ça me revient maintenant. Je vois le mal partout ? Le surplus de profit serait dérisoire - pas assez de puristes ou de salles IMAX, vous croyez ? -, donc ne
motiverait pas ce choix de diffusion ? En même temps c'est mon blog, et Hollywood c'est pas une entreprise philantropique. [mise à jour
(20/11) : aux dernières nouvelles, soit la prod a totalement changé son fusil d'épaule pour pas embrouiller le chaland, soit la rumeur était erronée. Une version unique de
2h45 environ sera projetée sur écran 3D comme IMAX (ça paraît quand même plus logique). On touche tellement les limites techniques question durée dans ce second cas que le générique de fin
serait, paraît-il, carrément " scalpé " pour les valeureux qui feront le pèlerinage de Marne (c'est que ça se trouve pas sous le sabot d'un cheval, une salle IMAX, en
France, où même les sabots de cheval se font rares), et n'auraient pas droit aux crédits - et il va y en avoir vu la liste technique du film... On verra bien. Quant à la " version longue "
(on n'ose parler de director's cut), il faudra sûrement attendre 4 mois, puis une éventuelle ressortie plus tard, qui se justifierait pour profiter de la 3D . Malin quand
même ? Ok, je vois le mal partout... Cette réduction d'un film d'abord annoncé à plus de trois heures dans sa version intégrale résulte du fait qu'aux USA il commence à y en avoir un paquet, de
salles IMAX, contrairement à chez nous, et que le film est calibré pour. Deux versions créant le trouble, la prod a choisi de tout aligner sur la sortie US, visiblement. De toute façon, je
serai le premier pèlerin.]
...dans la très poussive et traîtresse adaptation TV de 13 diffusée il y a quelques temps sur Canal, se reforme le
couple de truands déglingos sur lesquels s'énerve l'ami Viggo Mortensen au début d'History of Violence, à savoir Stephen McHattie
et Greg Bryk, respectivement le général Carrington et le colonel Amos dans ce sous-Jason Bourne (ce dernier ayant clairement
anéanti toute possibilité de voir un jour une véritable adaptation de la BD, tant elle ressemblerait à une resucée. Quel paradoxe...).
Voilà voilà, c'est toujours bon à recaser quand on est coincé au milieu d'une bande de geeks en
pleine phase d'exaltation (c'est, hélas, une situation à laquelle de plus en plus d'entre nous sont et seront confrontés). Si vous le sentez, vous pourrez ajouter que c'est probablement pas pour
préparer son prochain rôle que Val Kilmer y traîne un aussi gros cul (il y incarne une Mangouste bien dodue), et qu'il ressemble vraiment à "un gros Indien" - dixit mon
entourage proche... ce qui n'est pas un problème en soi (ni d'être gros, ni d'être indien), surtout quand on a comme lui un peu de sang cherokee. Mais un gros Indien blond
qui ressemble à Val Kilmer, non, vraiment, ça le fait pas. Pourvu qu'Iceman ne couve pas autre chose qu'une addiction au Big Tasty...