Il évoque aussi « des mesures régressives et dangereuses pour l'école publique » au rand de celles-ci la suppression de la carte scolaire ou la semaine de quatre jours, indique l'AFP. Ces mesures « dégradent considérablement les conditions d'apprentissage des élèves » poursuit le communiqué.
Le parti socialiste affirme enfin que « la démocratisation scolaire est en panne » et demande un « coup d'arrêt soit porté à la casse de l'école publique » ainsi qu'une « autre politique éducative, rénovée et démocratique ».