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Le vent s’est perdu (André Frénaud)

Par Arbrealettres


Le vent s’est perdu (André Frénaud)

S’il vient sans amour
garde les mains pures,
le vent s’est perdu,
les oiseaux l’ont pris.

Les chevaux flageolent,
Les tombes, les tombes…
La douce a filé,
est-ce au Paradis?

(André Frénaud)


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