Les miches pendantes et la bave aux lèvres
La vieille rosse tout d’un coup moins féroce
Revient docile ramper près de son maître
En abandonnant bien vite ses airs de molosse…
Envolées velléités, insultes et agressivité,
Disparue la fierté tant et tellement rabâchée
Et partis les ragnagnas et les affreux excès
De cette horrible et moche folle mégère à claquer !
La mange-merde est revenue ramper
A plat ventre et tête basse bien au ras des déchets,
Et son honneur enfui lui s’est carrément barré
Car le toutou soumis ne cesse de quémander…
Remise en place, moquée et ridiculisée,
Sans trop forcer la fière dame s’est facile allongée,
Sous le regard et les ordres que lui aura aboyé
L’amant tant rejeté qu’elle aura longtemps insulté !
Et la même vieille bique aujourd'hui ré-astique
Les couilles vilipendées et tellement décriées
De celui dont elle voulait avant tant se venger
Dans ses tonnes de menaces à maintes fois hurlées...
Folle à lier, pauvre tarée,
Physique usé mental borné,
Pathétique pieuvre mi-accrochée
Qui mériterait d’être shootée !
Mais le morbac bien accroché
Pompe tout ce qu’il peut sans arrêt,
La gueule ouverte et dents rentrées
C’est franchement à en avoir la nausée.
La bourrique revenue d’envie il n’y a plus
De fréquenter un nid à ce point avili,
Pollué et souillé avec une teigne en vue
Dont les jolies paroles sentent grave le gerbi.
Et ça refoule trop fort la mamie faisandée
Pour cette tatie Danielle à moitié pervertie,
Gitane voutée flétrie à la gueule de charretier
Qu’il conviendra à tout prix désormais d’éviter !
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