Dur ce matin. Et d'autant plus dur sera ce matin que ce soir, c'est l'inauguration du Salon du livre jeunesse de
Montreuil. Et ne rigolez pas, je vous prie : les petits fours, les cocktails, les coupes de trucs et les bulles de machin, au bout d'un moment, c'est dur à supporter.
Heureusement que la rédaction a une endurance à toute épreuve de ce côté et que l'on a la chance de ne pas avoir à faire bonne figure dans ces réceptions. À peine a-t-on demandé à Clément de ne pas parler, à Mario de ne toucher à rien (SURTOUT !) et au petit Ramirez de bien vouloir ne pas essuyer ses doigts pleins de tout ce qu'il aura pu avaler dans les pages des BD...
Incorrigibles, je vous dis.
En attendant ce soir et le plaisir d'en retrouver certains parmi vous qui nous suivez avec assiduité - d'ailleurs, comment va-t-elle ? - vous pouvez toujours retrouver notre chronique du jour, d'un livre probablement aussi déjanté que son titre le laisse croire.
Le baisespoir du jeune Arnold, de Valdan Matijevic.
Non, vous ne rêvez pas, c'est bien calqué sur les souffrances du jeune Werther...