La commercialisation, malgré ce défilé médiatique, était restée confidentielle puisque aucun sac ne fut exposé.
Seuls les clients faisant la démarche pour passer commande pouvait ainsi se le procurer.
Les mois ont passé, et alors que la maison Yohji Yamamoto déposait son bilan (sans doute sauvée par un repreneur), les premiers sacs arrivent et sont livrés à leurs clients. De veau barénia naturel à l'origine, il est également proposé en taurillon ébène au faubourg et en étoupe rue François 1ier!
En voici un.