La toxicité du squalène comme “adjuvant” du vaccin étant établie, il faudrait en interdire l’utilisation non seulement pour les enfants et les femmes enceintes mais aussi pour l’ensemble des vaccins. Si vous cherchez le pourquoi et le comment de son autorisation par certaines autorités sanitaires, je vous recommande la lecture de deux articles d’un excellent blog de 20 minutes - “Pharmacritique” consacré aux questions de pharmacie et de santé publique que j’ai découvert en poursuivant sur Google mes recherches sur le squalène. Il reprend deux articles de la revue allemande «Arznei telegramm» particulièrement critique sur la façon dont les autorités sanitaires allemandes et l’OMS mènent leur action contre la pandémie de grippe H1N1…
Le premier, Grippe A H1N1 pandémique et vaccin adjuvanté au squalène : une analyse des risques traite de la grippe en général sur le plan scientifique et médical – vous verrez, c’est très long mais fort instructif – et conteste l’alarmisme de l’OMS, en s’appuyant notamment sur les données épidémiologiques de l’Argen-tine – pays comparable aux grands pays européens mais qui, situé dans l’hémisphère austral, a connu l’épidémie cet été. Il reproche à l’OMS précisément de ne pas tenir compte de ces données qui semblent suffisantes pour ne pas tomber dans l’hystérie actuelle !
Parcourant l’historique des grandes épidémies grippales connues, il met également en cause le mythe du «virus tueur» qui aurait sévi lors de la «grippe espagnole» de 1917-1918. Le grand nombre de morts s’expliquerait par diverses raisons. Il serait désormais établi que la plupart des décès seraient dus à des complications broncho-pulmonaires à une époque où les antibiotiques étaient inconnus de même que les règles d’hygiène actuelles. Et qu’en outre elle était survenue au décours d’une longue guerre qui avait considérablement affaibli les organismes (pauvreté et sous-alimentation).
D’autre part, elle a surtout affecté des hommes jeunes dont beaucoup revenaient du front (on connaît l’insalu-brité des “tranchées” !) alors que d’autres étaient stationnés dans des bases militaires où la promiscuité et la précarité des installations sur le plan sanitaire avait fait beaucoup pour la diffusion du virus.
Le second article, Grippe A: un vaccin douteux aux adjuvants risqués sera expérimenté directement sur la population, déplore Arznei-Telegramm est une critique en règle contre le lobby du pharmaco-chimico business qui impose sa loi aux gouvernements en matière de vaccination.
Ce qui vaut pour l’Allemagne vaut bien évidemment pour les autres pays européens dont la France. Contrairement aux Etats-Unis où la Food Drog Adminstration (FDA) refuse les vaccins “adjuvantés” en raison des risques et préfère la mise au point d’un vaccin classique contenant uniquement l’antigène du nouveau virus selon une technique éprouvée utilisée pour la fabrication du vaccin contre l’épidémie de grippe saisonnière.
Les vaccins “adjuvantés” préparés dans la plus grande hâte par les laboratoires et sans aucun essai clinique rigoureux transforment les campagnes de vaccination massive en «expérimentation grandeur nature sur la population»… Cela ne fait que confirmer ce que je pense depuis longtemps. L’article met aussi en cause les médicaments tels que le Tamiflu dont l’intérêt thérapeutique réel n’est pas prouvé : il permettrait tout au plus de gagner une journée ou une journée et demie sur la durée des symptômes !…
J’obtiens le même résultat et souvent bien meilleur avec l’homéogrippe et au moins je ne risque pas d’effets secondaires. Certains diront que je ne suis pas scientifique et que je verse dans l’irrationnel. Je m’en tape complètement. Du moment que cela marche ! Plus des tisanes au thym associé à la noix muscade, un bâton de cannelle – recette de base à laquelle j’ajoute du gingembre et un ou deux clous de girofle pour leur pouvoir aseptisant. C’est très bon et réconfortant. Lors de la dernière attaque de grippe en janvier dernier, assez “cognée” au demeurant je n’ai bu que cela pendant 4 ou 5 jours.
Les Etats vont ainsi dépenser des sommes astronomiques pour acquérir des vaccins qui semblent a priori plutôt dangereux et n’ont subi aucun contrôle d’innocuité digne de ce nom. Quant on apprend d’autre part que les firmes pharmaceutiques ont fait pression pour que les Etats s’engagent à acquérir de grandes quantités de doses en invoquant la pression de la demande mondiale, il est loisible de comprendre pourquoi les gouvernements font à leur tour pression sur les citoyens afin qu’ils se précipitent dans les centres de vaccination…
Moins il y aura de personnes vaccinées plus l’argent investi dans cette opération démesurée n’aura en fait servi qu’à l’enrichissement des firmes pharmaceutiques. Vous ne pensiez tout de même pas que les questions de santé publique et la meilleure manière de les régler dans le sens de l’intérêt général soit leur préoccupation première !
Leur seul but est de mettre sur le marché des médicaments et produits qui deviennent des “block busters” – médicaments très vendus à travers le monde et générant un super bénéfice annuel d’un milliard de dollars.
Cette pratique n’est pas nouvelle et comme les autorisations de mise sur le marché (AMM) ont lieu de façon de plus en plus rapide avec des essais cliniques souvent biaisés et sans véritable contrôle des autorités sanitaires d’autant que certains experts portent parfois une double casquette de conseillers d’organismes de contrôle et de conseillers de certaines firmes, sans se soucier ni faire état de ce “conflit d’intérêt” manifeste, ont comprend mieux pourquoi des médicaments qui avaient obtenu le feu vert des autorités sanitaires ont dû à quelques occasions récentes être précipitamment retirés du marché en raisons des troubles graves voire mortels.
Il semble bien que ce genre de “conflit d’intérêts” existe s’agissant des vaccins utilisés contre la grippe H1N1 et l’utilisation de médicaments antiviraux tels que le Tamiflu et le Relenza qui, par ailleurs, présentent le grand inconvénient que les virus grippaux y soient devenus résistants. Ce qui n’est guère étonnant, puisqu’ils semblent avoir été utilisés largement. On observe exactement le même phénomène avec les antibiotiques. Mais l’important – pour les firmes qui les produisent - n’est-il pas que les gouvernements en aient acquis en grande quantité ?
De la lecture fort instructive de ces deux articles, je retire deux éléments essentiels. Dans le premier, l’auteur remarque que l’étroite coopération des autorités sanitaires américaines et mexicaines a permis la création d’une “banque de gènes” publique et libre d’accès. Assez remarquable pour être signalé… Surtout si l’on se réfère aux pratiques habituelles des grandes – et même petites – firmes pharmaceutiques travaillant sur le génome – qu’il soit humain, animal ou végétal – et s’approprient les gènes qui constituent quand même le patrimoine de l’humanité ! pour les breveter.
Il semble évident à l’auteur que si les laboratoires pharmaceutiques avaient pu collecter et s’approprier ces données essentielles nul doute qu’elles n’auraient jamais été rendues publiques ou seulement celles jugées conformes à leurs intérêts. CQFD !
Dans le second, la Food Drug Administration qui refuse les vaccins “adjuvantés”, échaudés par l’épisode de la vaccination massive lors d’une épidémie en 1975-76 qui avait provoqué un nombre non négligeable de cas de Guillain-Barré et qui, par ailleurs entend exercer un véritable contrôle tant sur l’efficacité des vaccins qu’en ce qui concerne leur innocuité.
il est loisible de constater que la FDA se comporte en autorité sanitaire indépendante de l’industrie pharma-ceutique en lui imposant les règles du jeu. Pourtant, les Etats-Unis ne sont-ils pas considérés comme le bastion du libéralisme ?
Que l’on ne nous dise pas que les laboratoires ont été pris par l’urgence et qu’il leur était impossible de préparer un vaccin selon la méthode traditionnelle. Le début de l’épidémie au Mexique remonte à la fin mars 2009. Grandement le temps d’étudier le virus et les antigènes spécifiques et de les incorporer au vaccin contre la grippe saisonnière sans avoir besoin de ces adjuvants dont le moins que l’on puisse dire étant qu’ils sont éminemment toxiques.
Mais vous vous rendez compte : un seul vaccin au lieu de deux voire trois… s’ils réussissent à imposer la nécessité de deux injections. Tant mieux pour l’industrie pharmaceutque et tant pis pour la sécurité sociale car je suppose que c’est sur elle - qui n’est déjà pas assez à sec - que le gouvernement fera peser le coût de cette politique de santé publique qu’il devrait assumer…
En affirmant cela, j’entends déjà les cris d’orfraie et les remontrances des ultra-libéraux criant “nos impôts nos impôts !” tout à fait sur l’air de “ma cassete !” d’Harpagon. Je persiste et signe néanmoins. Les politiques de santé publique doivent être mises à la charge de l’Etat comme elles l’étaient naguère pour ce que nous nommions les “grands fléaux” tels la tuberculose et la lutte contre l’alcoolisme notamnent. Cela participe de la solidarité nationale et je n’en démordrais jamais.
Mais les autorités sanitaires des pays européens et de l’Union européenne en tant que telle s’écrasent toujours devant les lobbies et notamment ceux de la puissante industrie pharmaceutique. Ce sont eux qui désormais “font la loi” : celle de “par ici l’oseille”… au détriment des questions de santé publique dont ils se contrefichent carrément.
Désormais les Etats ne sont plus pour eux que des “vaches à lait” – tant pis pour l’équilibre budgétaire ! – et nous, de simples con…sommateurs de santé et co…chons de payants. Combien de temps supporterons nous cela sans réagir ?