Toujours en quête d'une introuvable crédibilité, l'opposition ne trouve ni ses marques, ni une critique sérieuse sur l'action de notre équipe municipale.
Alors,
faute d'enfourcher un vrai cheval de bataille, l'union PS-NPA est
allé chercher un vieux poney fourbu, qui dormait paisiblement au fond
des écuries du programme commun de 1978 : la nationalisation de l'eau.
Laissons dormir en paix cette pauvre bête !
En dehors
de la bulle politico médiatique de Louviers, plus personne ne
s'intéresse à ce débat, hormis quelques gauchistes retraités, blanchis
sous le harnois.
En dehors de la bulle lovérienne, tout le monde se félicite du dynamisme, de la compétence et des résultats en faveur de l'usager obtenus par la gestion de la CASE.
Au conseil municipal, hier soir. L'opposition s'est déchaînée, répétant pour la nième fois les mêmes arguments éculés.
Régie publique ou délégation de service public ? Bien que j'ai pris soin de faire une démonstration dont les chiffres sont incontournables, le débat sur la gestion de l'eau s'enlise
Pascal Labbé, écologiste incontesté, cloue le bec des opposants avec le mot de la fin :
" Au fond, pour une raison purement idéologique, vous voulez augmenter fortement le prix de l'eau pour l'usager. Vous voulez que nous fassions un très gros chèque à Véolia, payé par l'usager, pour le seul plaisir de payer une seconde fois le travail à faire, par le biais d'une régie publique."