C’est une quasi certitude, la crise est voulu par le secteur bancaire, plus précisément par la finance boursière. Malveillance pure et dure? Non. Méconnaissance des règles les plus élémentaires du respect des droits humains.
Les banquiers, ou plutôt les financiers, ne sont pas nécessairement donc des mauvaises gens, c’est juste qu’ils ne sont plus conscient pour beaucoup d’entre eux de la notion du bien et du mal, et quand il font du mal, ne réalisent pas un seul instant des dégâts qu’ils produisent dans nos vies. J’ajoute ce bémol pour éviter que ceux-ci deviennent les cibles de sections anarchistes qui pourraient décider de les éliminer physiquement.
Dans la finance boursière, c’est la guerre. La guerre permanente 24/24h. Alors l’étique de l’humain, ils s’en fichent un peu et même beaucoup. Ce qui est parfaitement compréhensible quand on se trouve dans le feu de l’action.
Si exigence il doit y avoir, nous devons nous tourner vers le gouvernement qui doit impérativement soit abroger, soit considérablement modifier les deux lois ou décrets de 1968 créées par Debré. Ces lois étaient certainement nécessaires à l’époque ou l’informatique était faible et internet inexistant à l’époque, mais présentement, les progrès fulgurants des ordinateurs et l’arrivée massive d’internet font que maintenant il n’y a plus de cloisonnement entre l’économie réel et virtuelle; l’informatique devient un danger pour l’économie réelle qu’elle devrait servir.
Précision: internet n’est pas un danger pour l’économie réelle, bien au contraire, c’est un accélérateur formidable. C’est l’utilisation d’internet dans la bourse qui devient dangereux. Nuance.
Les jeunes, ainsi que le reste de la population qui travaillent ou qui cherchent avec sérieux un emploi, doivent se révolter et protester vigoureusement contre le gouvernement pour obtenir les revendications suivantes:
La jeunesse d’aujourd’hui n’a pas à devoir choisir entre l’appartement et la voiture. Comme ce fut le cas dans les années 1970 ou elle pouvait avoir les deux.
La jeunesse d’aujourd’hui est en droit d’exiger d’avoir les deux (voiture et appartement). Comme ce fut le cas dans les années 1970. Rappel.
La jeunesse d’aujourd’hui doit réussir sa vie privée, la vie professionnelle devant servir celle-ci. C’est d’autant plus vrai que les femmes vieillissent plus vite que les hommes et regrettent de ne pas avoir concilié les deux en même temps quand la ménopause arrive.
La jeunesse d’aujourd’hui est en droit d’avoir tout ce qu’elle désire, pour quelques heures de travail chaque jour. Le travail doit permettre de s’enrichir, et non de rester des travailleurs pauvres sous le faux prétexte d’une crise économique mondiale qui est voulu par les politiciens parce qu’ils admirent les puissants de ce monde: banquiers, écrivains, et parrains de la mafia.
La précarité de la jeunesse est le résultat de la niaiserie, de l’incompétence et de l’indifférence de la classe politique gauche-droite qui n’a jamais fait son travail, mais qui au contraire, a pensé à ses propres intérêts au lieu de penser à l’intérêt général. Si la justice faisait son travail, la classe politique aurait un autre visage que celui que nous lui connaissons.
La jeunesse d’aujourd’hui doit se prendre en charge et faire des projets et les réaliser. Ce sont les nouvelles technologies qui vont permettre de fournir un effet levier pour le plein emploi, à la seule condition que le parlement ne cherche pas à détruire internet. Car présentement, des rumeurs circulent à propos de l’atteinte à la libre expression. Ce serait le retour du minitel surfacturé.
La jeunesse d’aujourd’hui doit imposer ses projets en frappant la table du poing. Pour cela il faut créer des dossiers tangibles, rassembler de la documentation car notre société accorde beaucoup d’importance à l’écrit qui possède une force juridique.
La jeunesse d’aujourd’hui doit être prête à bosser dur et fort, jour et nuit pour obtenir ce qu’elle désire. Elle doit bosser dur et fort impérativement avec sa tête, son cerveau et non pas avec son corps pour finir prématurément vieillit.
La jeunesse d’aujourd’hui doit écarter les gêneurs qui cherchent à les freiner et à les ralentir. C’est aujourd’hui que tout se décide. Il faut éloigner les soixante-huitards violement si cela est nécessaire. Ne vous laissez pas approcher par eux. Ce sont des roublards, voire, des criminels.
La jeunesse d’aujourd’hui doit penser par elle-même, et pour cela doit lire, s’instruire et se cultiver jusqu‘à la fin de ses jours. Une jeunesse correctement formée est capable de faire plier les politiciens égoïstes et roublards qui sont là pour servir l’intérêt général et non pas se servir en les sacrifiant. C’est hélas toujours le cas présentement. C’est la raison pour laquelle il faut rajeunir les cadres en politique, afin d’éliminer les soixante-huitards qui sont présents hélas dans presque tous les partis politiques. P.S, UMP en sont les exemples vivants d’une classe de soixante-huitards qu’il faut pousser à la retraite afin que les plus jeunes et les plus honnêtes qui ont entre 30 et 40 ans puissent prendre le relai. Ils sont beaucoup plus instruits, et plus honnêtes.
Xavier Jaffré
VAC PRESSE