Le principe? Créer un petit être mignon qui ne peut aller que tout droit mais qui a sa destination inscrite sur lui. Ainsi, les passants vont le déplacer et le remettre dans le droit chemin.
Ce « robot » réalise donc son objectif par la seul sympathie des passants, un facteur psychologique oublié des ingénieurs.
Ce travail très simple repose cette petite question philosophique: l’homme tire t-il sa force du fait qu’il soit un animal rationnel ou un animal social?
Ce qui nous amène à cette autre interrogation: à l’heure où les acteurs du web ont enfin compris la force des interactions et des réseaux sociaux n’est-il pas tant d’essayer de passer d’autres technologies au 2.0?