Certes il y a emprunt, mais, vu de très loin, pour des raisons valables (investir là où l'on n'investit pas assez pour notre bien), et auprès des marchés financiers internationaux, donc en en minimisant le coût. M.Rocard :
pour lever auprès des particuliers, il faudrait les allécher, ce qui coûte plus cher. Ça ne vaut pas le coup.
Le bon sens aurait-il prévalu, finalement ? La nation arrive-t-elle à réfléchir et à se faire entendre ?
Compléments :
- Craintes antérieures : L'étrange changement de M.Sarkozy, plus spécifiquement : Logique de l’emprunt, Emprunt national : le naufrage ?