Si vous ne savez pas quoi faire durant une dizaine de minutes ce week-end, j'ai trouvé à vous
occuper.
Allez lire la chronique de Thomas Friedman, éditorialiste au New
York Times. La trajectoire de l'homme n'est pas inintéressante puisqu'il a longtemps défendu les thèse de la mondialisation heureuse et libérale or depuis deux ans, il a quelque peu revu ses
positions.
Extraits de l'une de ses dernières tribunes :
"Mais il y a désormais deux autres bombes au-dessus de la tête de nos enfants : la bombe de la dette et la bombe climatique."
"Alors que nous continuons d’accumuler du carbone dans l’atmosphère à des niveaux sans précédents, nous ne savons pas à quel moment la prochaine molécule de carbone bouleversera un écosystème et
entrainera un épisode climatique non-linéaire"
"Même chose pour le marché. Le marché est simplement une photographie, renouvelée à chaque seconde, de l’équilibre entre l’avidité et la peur. Vous ne pouvez pas vous jouer de lui, ni le séduire.
Et vous ne savez jamais quand cet équilibre sur le dollar entre avidité et peur va basculer en direction de la peur de façon non-linéaire."
L'intégralité de cette chronique est à lire chez Contreinfo.