Polka Magazine #7

Publié le 20 novembre 2009 par Pixfan @pixfan

Le numéro 7 de Polka Magazine sort aujourd’hui en kiosque.

Au sommaire :

  • Hommage à WILLY RONIS, celui qui nous parlait d’images.
    Il aimait les femmes, toutes les femmes : syndicalistes, marinières, marchandes de frites, écuyères, amoureuses, en robe du soir ou toutes nues.
  • KOSUKE OKAHARA, Calais, les hors-la-loi.
    Il y a les centaines de migrants sans papiers qui, depuis la destruction de la « jungle », n’ont plus d’abri. Il y a aussi ces quelques habitants qui leur ouvrent leur porte. Les uns comme les autres défient la législation française.
  • DIANE GRIMONET, Pour eux, l’hospitalité fait loi
    Ils sont parfois dénoncés par leurs voisins, désavoués par leurs proches, surveillés par la police. Mais pour Moustache, Brigitte et les autres Calaisiens de bonne volonté, l’accueil est un devoir humain.
  • ALEXANDER GRONSKY, Russie, le pays blanc comme neige
    Vingt ans après la chute du Mur et les premières fissures du régime soviétique, la Russie refuse de regarder en face les sombres années de l’Empire rouge. Elle enfouit son histoire. Comme sur ces photos d’Alexander Gronsky où la neige immaculée cache les cicatrices des villes.
  • FRANCOISE HUGUIER,United Colors.
    Son studio est le décor de la vie. Pour photographier la mode, Françoise Huguier montre les femmes dans un univers réel. Une cuisine, un champ de canne à sucre, un café. Journaliste de terrain, elle est aussi metteur en scène de ses images.
  • CARLOS CAZALIS, Sao Paulo, métropole sauvage.
    Avec ses 22 millions d’habitants, la capitale économique du Brésil, siège des grandes compagnies, draine tous les espoirs du continent sud-américain. Les riches construisent   condominiums de luxe sous haute surveillance, les pauvres survivent sur les trottoirs ou dans les favelas. La plus forte concentration au monde de tensions sociales.
  • JULIO BITTENCOURT, Prestes Maia 911, Sao Paulo
    « Les riches habitent dans une tour d’ivoire et aperçoivent les autres Paulistas par les vitres de leur voiture blindée. »
  • JONATHAN TORGOVNIK, Conçus dans la haine, élevés dans l’amour.
    Au Rwanda, pendant les massacres de 1994, 250000 femmes ont été violées. Selon les estimations, 20000 enfants sont nés de ces crimes. Dans ce reportage réalisé entre 2006 et 2009, inédit en France, des mères ont accepté de témoigner, en posant avec leur fils ou leur fille.
  • TOMASZ GUDZOWATY, Air Force
    Indiens, Chinois, Ukrainiennes, ces sportifs défient les lois de la pesanteur. Au prix d’un long entraînement, aussi mental que physique. L’artiste polonais livre une vision quasi anthropologique du sport et de ses pratiques ancestrales, nous révélant un art d’une folle exigence.
  • BRUNO CALENDINI, Un monde si fragile.
    Au moment du sommet de Copenhague sur le réchauffement climatique, Polka publie ces photos d’animaux dont l’environnement est gravement menacé. De l’Afrique subsaharienne où chassent les grands fauves, à l’océan Antarctique des prédateurs marins, l’équilibre du vivant vacille. Les décisions qui doivent être prises au Danemark par la communauté internationale engagent l’avenir de la planète.
  • XAVIER DESMIER, Les dents de la mer froide.
    Les eaux de cet archipel austral où les orques chassent au gros sont déjà touchées par le réchauffement climatique.
  • MARC RIBOUD, 2 Juillet 1962, jour de fête à Alger.
    Ces photos en noir et blanc, extraites de son dernier livre, « Algérie, indépendance » ont la couleur de l’époque, à la manière d’un album de famille. Marc Riboud ne photographie pas le sang, ni la mort, mais la joie et la vie avec, comme l’écrit Jean Daniel dans sa préface, « une sensibilité de poète de la quotidienneté et d’historien de l’intime ».
  • ROXANE B., Belles et rebelles
    Alors que la menace du nucléaire iranien mobilise la diplomatie internationale, le bras de fer se durcit entre Ahmadinejad et le peuple. Polka, après avoir dévoilé les « visages de la liberté » dans son numéro précédent, continue d’aller à la rencontre de celles qui, depuis des années, refusent l’oppression du régime. Avec ou sans voile, elles veulent vivre en femmes modernes. Trois photographes témoignent.
  • ZOHREH SOLEIMANI, Belles et rebelles<
    Alors que la menace du nucléaire iranien mobilise la diplomatie internationale, le bras de fer se durcit entre Ahmadinejad et le peuple. Polka, après avoir dévoilé les « visages de la liberté » dans son numéro précédent, continue d’aller à la rencontre de celles qui, depuis des années, refusent l’oppression du régime. Avec ou sans voile, elles veulent vivre en femmes modernes. Trois photographes témoignent.
  • ALEXANDRA BOULAT, Quand la photographie soulevait un coin de voile.
    Trois ans, jour pour jour, après les attaques terroristes du 11 septembre 2001, Caroline Mangez, grand reporter à « Paris Match » embarquait avec Alexandra Boulat, photographe à l’agence VII, pour un voyage de trois mois le long de ce que George W Bush qualifiait d’« axe du Mal ». Kaboul-Bagdad en passant par l’Iran où elles ont séjourné quarante-cinq jours… Il ne s’agissait pas de courir après les bombes, simplement de soulever un coin de ces voiles sous lesquels des femmes, réduites à l’état d’ombres alors qu’elles constituent la majorité de la population, étaient priées de s’ensevelir au nom de la modestie qui leur était prêchée en public. Alexandra Boulat est morte en septembre 2007, à la suite d’une rupture d’anévrisme. Nous l’appelions « Alex ».
  • LIZZIE SADIN, Regardez bien ces enfants.
    Profondément humaniste, Lizzie Sadin est spécialisée dans les grands reportages portant sur la défense des droits de l’homme et la dénonciation de toutes les injustices.

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