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La conasse

Par Plouf

les crinières au gré du vent,
et puis les hauts de hurlevent,
tout un monde qui se bouscule,
un monde rempli d'opercules!
et tu ries à mon balcon,
et en me traitant de con,
la vie est bien trop bonasse,
pour tenir foi d'une connasse!
je t'ai connue dans le ruisseau,
tes artificielles éponges,
et puis le mal qui te ronge,
vas tu t'en es bien sortie,
sauf que d'être vide de vie,
tu connaitras le caniveau,
le vrai se sait sur ta planète,
malgré des frasques pas trop nettes!
des milliards j'aurai donné,
pour retrouvé ma liberté,
j'ai depuis connu l'abondance,
"honnis soit qui mal y pense"!


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