Les OGM, on ne les veut surtout pas dans nos assiettes, et on s'en méfie lorsqu'elles risquent ( et le risque est patent ...) de disséminer des gènes dans les cultures avoisinantes.Là, maintenant , tout le monde est d'accord ( sauf les semenciers, mais ça fait partie des risques du métier ...).
Mais avec une biotechnique maintenant quasi maitrisée, dans quelles directions acceptables ( ( dans le merdier où nous nous sommes collés, il ne faut peut-être pas trop faire la fine bouche ...) peut-on se lancer pour profiter de ces nouvelles et très coûteuses connaissances ?
Il y en a tout de même une, au moins, dans le domaine des biotechnologies des énergies renouvelables ...
Par exemple, voici des algues bénétiquement modifiées, dont le taux de chlorophylle est nettement amoindri ( 130 grosses molécules au lieu de 600 par chloroplaste ...), ce qui permet à la lumière, dans des réacteurs destinés à utiliser la lumière solaire pour les " faire travailler", d'aller nettement plus loin, plus profond au contact d'autres algues qui jusqu'ici , étaient privées de soleil, donc restaient improductives ...Avec à la clé un triplement du rendement de ces réacteurs biologiques (au final, production d'hydrogène ).
http://www.technologyreview.com/Energy/19438/
Jeu de briques
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Pacman
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