Merci Raymond. Tu as été critiqué, contre vent et marées. Personnellement, je t’ai soutenu. Aimé. Supporté.
… Mais maintenant, DEHORS !
Là, trop c’est trop. Un match de 120 minutes, un nœud au ventre. Pas de jeu, ni schéma tactique clair. Des joueurs entrés la mort-au-ventre. Perdus, comme des poussins jetés dans les crocs d’un crocodile vert affamé. On aurait dû avoir une une défense cadenas. Un milieu athlétique. Une attaque organisée. Le peuple français exige tout simplement du jeu. Le peuple français ne peut pas être fier de ce match, de cette qualification. L’Irlande aurait dû gagner.
A l’image de ce match – piteux – contre l’Irlande, notre équipe a souffert pendant 2 années souffre sans baisser les bras. Le 1er match contre l’Autriche (perdue 3 à 1). Déjà, Domenech était arrogant avec son histoire d’escabeau. En Roumanie, le match nul, puis la rage de Ribéry en Autriche, et le match nul contre les Serbes.
Trop de sueur froide. De souffrance. De douleurs. De difficultés.
Gagner notre ticket sur un vol, une main de Dieu, version Thierry Henry. Les images ne trompent pas. Et le visage de Titi à la fin du match était blanc livide. Comme un Aloxe-Corton trop jeune, fermé.
La balle est dans le camps de Escalette : virer Domenech et placer à sa place Giovanni Trapattoni ?!