Sudden financial arrestLa crise financière ressemble à une crise cardiaque, d’un seul coup panique, plus rien n’est alimenté. Il faut un défibrillateur dit Ricardo Caballero ?
Celui-ci doit apporter une dose massive de sécurité d’état, pour, à nouveau donner envie à un marché financier prostré de faire des folies.
On lui rétorque que l’existence d’un tel défibrillateur va encourager le banquier à l’irresponsabilité. Il répond que le défibrillateur n’a pas cet effet sur nous.
Pas d’accord. Le défibrillateur ne marche pas à tous les coups, le banquier ne risque pas sa vie.
L’idée du défibrillateur est bonne : il faut sauver l’humanité. Mais, tout le monde doit savoir que c’est la solution de la dernière chance. Une solution redoutable et brutale. Le banquier, en particulier, a peu de chance d’y survivre.
Compléments :