Jean Charest - Photo: journalpremiereedition.com
Voici ma réponse à un commentaire sur une citation faite de mes écrits sur un forum politique de locolocass.net en page 4 et portant le titre, Jean-Charest est dangereux.
« Plourde invente un scénario dans sa tête, mais est-ce que ça repose sur des faits ? Je pense que non. »
Vous devriez me prendre au sérieux Monsieur Cocolombo, je vous invite à lire mes textes, toutes mes informations majeures sont documentés et vérifiées. Vous vous situerez graphiquement dans ce pays en consultant l’organigramme du fonctionnement d’une organisation que je décris dans le texte, Vivre libre ou disparaître sur mon site, saglacweb.blogspot.com, lisez le attentivement, vous y trouverez la méthode graphique qui vous donne la façon de s’y prendre pour le Canada pour évincer les Québécois de ce pays. Vous serez même en mesure de vous situer comme personne dans ce graphique. C’est en cours de procédé et on ferme les yeux ou plutôt on fait semblant de ne pas voir.
Je constate que l’ensemble des Québécois ne savent pas comment fonctionne la démocratie. Lorsque M. Charest divise le Québec entre régions et Montréal, il génère délibérément une lutte intestine intérieure entre les Québécois eux-mêmes, ça ne se fait pas dans la famille une chose comme cela, aucun pays uni ne cherchera délibérément à diviser le pays, l’intégrité des territoires est mise en cause par un tel procédé et les citoyens de Montréal ne semble pas se rendre compte de la manipulation dont ils font l’objet.
Vous oubliez que M. Charest est un agent fédéral, qui s’est fait élire sans respecter aucune de ses promesses jusqu’à maintenant. La plupart, si non, tous ses conseillers sont fédéraux, ils occupent les postes clés de nos bras de levier économiques les plus importants, l’Hydro-Québec et la Caisse de Dépôt, je prévois que cette dernière sera réduite à néant avant 10 ans et transformée en une société fédérale rendant nos fonds de pensions dépendants du bon vouloir des autres provinces, voir l’un de mes textes sur la nomination de M. Sabia sur amériquebec.net ou sur saglacweb.blogspot.com.
La démocratie, c’est la loi du nombre sur un territoire donné, si l’on abandonne un territoire c’est la démocratie des nouveaux propriétaires qui s’appliquent, c’est pourquoi, l’approche commune est une erreur fatale pour nous tous, voir, Montréal, le traité de l’approche commune va te faire mal, sur ameriquebec.net. En transférant nos territoires à un petit groupe d’Amérindiens choisi par le fédéral, nous transférons la gestions de ces mêmes territoires à Ottawa, parce que les Amérindiens sont sous la tutelle d’Ottawa, tous ce qui leur appartient, appartient à Ottawa. Monsieur, tous les actifs importants du Québec dont nos pères, vous et moi avons payés de nos efforts sont sur des territoires qui ne nous appartiendront plus, incluant les barrages, les lignes de transmission, l’eau, les mines, etc, etc. Nous deviendrons soumis au dictat d’Ottawa via quelques Amérindiens.
La Constitution Canadienne n’attend pas après nous, elle se négocie tous les jours, l’approche commune est négociée entre fédéraux assis des deux côtés de la table de négociation, c’est la signature de notre expropriation pur et simple, vous trouverez la preuve de ce que j’avance sur le texte suivant, Conflits d’intérêts, sur saglacweb.com, ameriquebec.net, et bien d’autres sites, j’ai même payé de ma poche une page complète dans deux journaux locaux de ma région pour dénoncer ce traité, le seul endroit au Québec ou l’on m’a permit de publier mes textes. Le Journal de Montréal m’a refusé une page à $8,000.00 pour ne pas me permettre d’acheter mon droit d’expression. La commission Tailor/Bouchard est une confirmation de mes affirmations, les commissaires ont été choisis en fonction des résultats souhaités par M. Charest, on appelle cela le contrôle de l’information. L’immigration massive anglophone dans Montréal en est une autre. Le tout en conformité avec le fonctionnement de la démocratie du nombre exprimé dans mon texte, Vivre libre ou disparaître.
Le jour ou le passage majoritaire à Montréal aura traversé la barre du 50%, c’en sera fait de notre avenir et de celui de nos enfants.
Ce traité, Monsieur, c’est la deuxième déportation massive de citoyens de ce pays depuis les Acadiens. Elle se fait par expropriation de 7 millions d’habitants des territoires qu’ils auront développés au lieu de bateaux, voir les paroles de Churchill à notre sujet sur, saglacweb.com et confirmées par Chrétien et Charles Guité avant, pendant et après le référendum, voir également pourquoi la Commission Gomery, bien que très bien ficelée, fut une autre forme de contrôle de l’information, voir mon texte, Juges et partis, sur saglacweb.com. Si vous et moi ne travaillons pas tous ensemble pour réveiller les endormis qui ne vont pas voter en croyant contester à tord, vos enfants vont parler l’anglais et vous serez forcé de marcher en Canadien, militairement s’il le faut.
Demandez-vous pourquoi aucun journaux Canadien ne s’oppose à l’achat de Énergie Nouveau-Brunswick et aux autres qui vont suivre, réalisez vous que nos coût d’approvisionnement vont être plus élevés que ceux du NB, nos usines et nos emplois sont sensibles à cela, M. Charest transforme un bras de levier économique en charge sociale, la dette du Québec est déjà, grâce à M. Charest la plus élevée du Canada, avec les charges sociales que M. Charest ajoute continuellement sur nos épaules, dans 20 ans on sera obligé de demander grâce à Ottawa pour être soulager en vendant l’Hydro à rabais. Le racisme de l’expression, Nègres blancs d’Amérique, sera devenu notre réalité.
Le Canada est en train de donner au provinces Maritimes et à l’Ontario le sentiment que l’Hydro-Québec c’est aussi à eux et qu’ils devront s’associer au Canada pour nous faire la lutte dans le cas d’un nouveau référendum, s.v.p., réfléchissez sérieusement à mes écrits, posez-vous la question pourquoi aucun journaux du ROC ne s’oppose aux actions de l’Hydro? Les seuls à n’y rien comprendre, ce sont, comme toujours, les Québécois.
Dès 2004, j’écrivais à M. Charest pour le mettre en garde contre les troubles sociaux énormes qui s’annoncent avec ses politiques, voir, Lettre à Jean Charest sur saglacweb.com.
Le premier geste que fait un pays en guerre, c’est de contrôler l’information, M. Cocolombo, le Québec est sous un contrôle sévère de l’information, voir mon enquête, Le contrôle de l’information, sur saglacweb.com. La culture anglophone est de plus en plus envahissante, seul les Québécois tous ensembles peuvent y faire quelques chose à condition d’allumer et ça presse.
La démocratie, c’est le vote des citoyens qui l’exprime, c’est le symbole même de la liberté. Lorsque les gens ne vont pas voter, ils se font manipuler. La première loi d’un Québec souverain devrait-être l’obligation d’aller voter sous peine d’amende, les Norvégiens ou Suédois l’ont compris et il l’ont fait. Il faut absolument passer le mot… Lorsque nous ferons cela nous aussi, les abus de pouvoir vont cesser et on finira par ne plus nous passer n’importe quoi, je vous le garantie.
J’avais presque abandonner la partie avant de lire vos commentaires, en regrettant la réaction à venir des citoyens lorsque vous et moi seront mis devant les faits accomplis et les troubles sociaux ….
Sans un réveil de tous les citoyens du Québec et une diffusion massive de l’information via internet, à défaut des journaux, revus, radios et télé, c’en est fini de nos prétentions de peuple. Nous seront bientôt un peuple oui, mais un peuple exclus, sans territoires, une diaspora sans droit de regard sur ses actifs dilapidés, ni sur son avenir.
L’avenir entier et la survie du Français en Amérique et dans le monde dépend en grande parti de ce qui se passe ici. A voir les Français valoriser l’anglais et à écraser leur propre culture. À voir aller les Sarkozi, Charest et Desmarais, il me semble bien qu’on devra se fier à nous mêmes pour notre survie. C’est nous qui avons quelque chose à leur apprendre et il nous faudra du courage pour ne pas mourrir.
Libre à vous de me croire ou pas, cependant je ne saurais trop vous suggérer tous, de vérifier mes écrits et les références qui prouvent ce que j’avance.
C’est vrai que je ne suis pas connu, mais je le suis de plus en plus. J’ai de nouveaux lecteurs à tous les mois.
Mes écrits sont le résultat de 40 ans de réflexions et de lectures dont le texte, Vivre libre ou disparaître, sur saglacweb.com, en est l’expression graphique. Ce texte à même été retenu par la défunte observatoire des médias du Québec, omq.blogspot.com comme page d’entrée de son site et il y est encore, j’ai également une référence sur wikipedia en sociologie que des opposants n’ont pas encore réussis à exclure.
Je ne cherche pas la reconnaissance, mais la confrontation des idées et l’expression logique des conséquence de faire ou de laisser faire. Cela ne peut se réaliser que par les rapprochement entre les différents évènements qui nous confrontent.
Ce qui se passe au Québec est tout à fait mathématique, comme : a + b = c.
On aura tous le résultat de nos actions ou de notre indifférence sur le dos pour l’éternité.
Du peuple fier de René Lévesques nous deviendront le rejet de ce pays sans même le droit de représentation de notre 25 % à notre parlement fédéral, Québec n’étant plus une province mais un territoire Fédéral géré par un petit groupe d’Amérindiens non élus par le peuple. Les six millions de Québécois héritant de la tutelle des Amérindiens.
Vous avez le droit de ne pas me prendre au sérieux. Je vous invite fortement à vérifier mes références sur chacun de mes textes. Si vous y trouvez des erreurs majeures je serais heureux d’en discuter avec vous et à m’excuser publiquement pour mes erreurs.
Constatez l’attitude Canadienne, les Lac Meech, Lac à l’Épaule, etc. Le Canada à une attitude de confrontation, il n’y a rien d’amicale dans ce comportement, nous sommes les seuls à tendre encore la main…
L’avenir est entre nos mains, pas seulement les miennes. Ce que j’avais à faire, je l’ai fais ou plutôt, je vous l’ai écrit. Prenez la peine de lire le tome 1 et 2 de Normand Lester, Le livre noir du Canada anglais, et vous allez allumez très vite, essayez pour voir. Malheureusement, on est un peuple qui ne lit pas beaucoup et ça risque de nous coûter très cher.
J’invite tous les lecteurs de Loco Locass à réfléchir sur tous les sujets dont j’ai fait des recherches et à faire les rapprochements qui s’imposent.
Le Labrador nous fut retiré en 1949 en utilisant des techniques du Fédéral semblables à celle du traité de l’approche commune d’aujourd’hui, avec beaucoup de propagande sur les Québécois de l’époque.
Un peuple qui ne connaît pas son histoire est appelé à répéter ses erreurs, c’est exactement ce que l’on fait. De plus, on accepte même qu’Ottawa modifie l’histoire enseignée à nos enfants dans nos écoles et on ne dit pas un mot…, contrôle de l’information…
L’enseignement de l’anglais dès la première année c’est pour très bientôt… adieu nos artistes et bienvenue le folklore.
En espérant avoir été utile et suscité la réflexion;
Jean-Pierre Plourde, Bsa, UQAC73, Réf. POL636-NOV09-LOCOLCAS
saglac@gmail.com
PS.
2.Sachez que le traité dit de l’approche commune se négocie selon les principes de la constitution rapatriée contre notre gré en 1982 par Pierre Éliot Trudeau. Si on ne se réveille pas rapidement…. Il n’y aura plus rien à négocier…
3. J’ai pris connaissance de vos écrits par google sur son moteur de recherche, si vous m’aviez laissé un petit message, je me serais fait un plaisir de venir échanger avec vous tous que j’admire beaucoup d’ailleurs. Vous contribuez à faire avancer le débat.
Vous y contribuez beaucoup et je vous invite à continuer, SVP, si jamais vous avez un autre débat du genre, je suis facile à rejoindre, saglac@gmail.com. J’ai plein d’autres informations pour vous…