Magazine Journal intime
Tu as disparu dans la nature comme un éclair.
Un samedi, je t’ai serrée dans mes bras,
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Je me rappelle, de ne pas t’avoir serrée trop fort,
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Je ne savais pas que c’était « au revoir à jamais ».
Un autre samedi, tu es partie.
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Mon cœur te réclame, à chaque vague à l’âme, ...........
Tu étais mon médecin, mon amie, mon enfant, mon ange, .........
Tu étais mon gardien de secret, mon buveur de chagrin, ...........
Tu étais simplement ma maman.
« Mam’ange » Tu me m’manques.
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