En effet, celle-ci s'oppose à la distribution des chèques contraception dans son académie pour « des raisons juridique, comptable et morale » et a « demandé par courrier aux proviseurs de lycées de ne pas distribuer les pass contraception envoyés dans les établissements par le conseil régional ».
Ségolène Royal n'a pas tardé à réagir appelant les infirmières qui le souhaitent à réclamer leur courrier, indique l'AFP. Elle a déclaré que l'interception du courrier était : « juridiquement infondé, alors que les colis sont adressés nominativement aux infirmières scolaires ». Et de marteler : « En aucun cas, un courrier nominatif ne peut être intercepté ».