Mon cœur éclipsé par le silence,
Se rempli de terreur, s’emplit de moiteur,
Je ne sais plus que penser, j’ai peur,
Je croyais avoir des réponses, pas cette sentence.
Je me suis réveillé en hurlant ce matin,
Le vent me sifflait aux oreilles au sommet d’une montagne,
J’y étais seul alors que je l’avais grimpé, mes yeux pleins de chagrin,
Je contemplais le vide, le précipice, le désir de sauter m’y gagne.
— Eleken,
Connaissez-vous le nom de ce qui empêche d’avancer,
La peur !
Connaissez-vous ma raison de ne pas cesser…
L’espoir.