J'ai toujours détesté le djembé. Même avant de naître. La frange de population qui joue de cet instrument m'est totalement alien.
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Passer deux heures dans trois mètres cubes à chanter du Brassens me sidère au sens médical du terme. Je compte bien en temps et en heure organiser des championnats de solitude.
François Beaune, Un homme louche, Verticales Phase deux, 2009.{http://loucheactu.blogspot.com/}