La bibliothécaire pleine de bon sens vérifie immédiatement le retard accumulé par l'étourdi... Les ouvrages avaient été empruntés en 1959 et forcément, en prévision de l'amende qui s'ensuivit, l'expéditeur/trice avait joint un chèque de 1000 $, pour couvrir toutes ces années d'absence.
L'expéditeur a souhaité rester anonyme et Goergette Bordine, responsable à la Camelback High School, révèle qu'une lettre présente dans le colis explique que les livres ont été embarqués par mégarde après un déménagement vers un autre État.
Dans la lettre, l'étourdi(e ?) fait valoir que par journée d'absence, il avait compté 2 cents, ce qui totalisait un montant de 745 $, mais qu'il/elle avait décidé d'arrondir à 1000 $ pour ne pas paraître radin, et parce que le coût de la vie avait augmenté.
Pour la bibliothécaire, c'est tout bénef : les ouvrages en retard vont retrouver leur place dans les rayons et avec la somme, on en achètera des neufs.
Elle est pas belle la vie ?