Et une rencontre entre Malko et Suzanne Moubarak, je vous raconte pas.
Extrait en quatrième de couverture :
« Faisant subitement face à SAS le Prince Malko Linge, le président Bachar al-Assad tape du poing sur la table, appelle la Sûreté nationale : «Nettoyez-moi ça !» »
Résumé de l’histoire sur 4 pages dans le Nouvel Obs du 12 novembre 2009 :
"A la poursuite des médicaments de la mort"
Car les 50 milliards de dollars, c’est le bénéfice annuel du réseau mafieux qu’ils ont chargé Malko de démanteler.
Par contre le roman n’explique pas comment l’hôpital de Ramallah pouvait se ravitailler en faux médicaments malgré tous les contrôles israéliens sur toutes les marchandises qui entrent en Palestine. Et si dans les gélules y’avait eu de la poudre à canon à la place de la poudre de perlimpinpin ?