miroires

Par Plouf
rien ne pourra jamais survivre à ma douleur,de tous ces souvenirs qui aggravent mes peurs,je m'agites et je git , être à contumace,si tu veux mon ami , tu peux prendre ma place!tu t'amuses tu ries tu n'entends plus mes cris,tes mains moites et collantes, de pizza et de bièreont oublié ta peau suturée; et l'autruche  de faire tu gâches un avenir court et mirifique,qui sait qui aura droit au paradis douteux,les volutes bleutées qui embrument mes  sens,me font voir ma vie et ma désespérance,discours bien rodé, pour la science, juteux!