Alors que le ministre de l'Education nationale est en train de faire son tour de France pour promouvoir la nouvelle réforme des lycées, il a insisté sur l'un des points clefs, selon lui, une plus grande marge de liberté laissée à chaque établissement.
Pour cela, il y a notamment deux heures/semaines qui seront laissées avec la possibilité de les insérer dans l'emploi du temps existant. Ces deux heures pourront être affectées à différents usages, selon, par exemple, les grands axes du projet d'établissement.
On pourra y proposer des heures de soutien ou bien encore des heures destinées à faire une meilleure information sur l'orientation. Ce sera au conseil pédagogique de chaque établissement d'en décider.
Luc Chatel a souhaité préciser que ces heures s'inséreront dans l'emploi du temps existant et « ne seront pas ajoutées », rapporte l'AFP. Effectivement, quand on voit déjà le nombre d'heures de cours d'un lycéen, ce n'est pas vraiment le moment de lui en ajouter.