Lundi, ils étaient là. Enfin, je pense, vu que j'ai finalement décidé de souhaiter un bon anniversaire à Firefox dans mon coin, sans risquer de mourir étouffée par un troupeau d'iPhones.
Firefox a cinq ans, donc, hourra. Vive eux, vive nous, c'est merveilleux (sans dévoiement du terme).
Si, depuis peu, je suis passée à Chrome, en usage général (parce que je suis influençable, j'ai switché après avoir traduit un article dessus pour Slate, quelle teubée je fais-ce), je garde néanmoins toujours une fenêtre Firefox ouverte quelque part - parce sur Chrome il n'y a pas la barre CNTRL qui me fait vivre de mes métiers, parce que, je ne sais pas pourquoi, mais il est impossible de faire un copié-collé d'OpenOffice vers Chrome (donc impossible pour les blogs et autres mails un peu rédigés), et parce que certaines pages s'affichent très mal dans le navigateur de Google. Bref, même si la version bêta 3.6 fait grave bugger mon ordinateur, Firefox est l'une de ces nombreuses entreprises (dans le sens d'"entreprendre") qui gardent intacte ma foi dans le web - avec la larme à l'oeil.
C'est aussi l'occasion de relire cette interview, toujours d'actualité. Et d'acheter ce livre, le second tome arrive bientôt. Jingle pub.