Devoir de réserve des écrivains de France, surtout lorsqu'ils sont lus à l'étranger...
Voilà la dernière connerie en date du sarkozysme, et comme il y a peu de chances que la droite française en sorte de plus monstrueuse d'ici 2012, on peut donc passer tout de suite aux élections anticipées.
Devoir de réserve de la plume en France : même nos rois n'y avaient pas pensé, et un vieux maréchal n'avait sans douté pas osé y rêver : Nicolas-le-Petit l'a fait. On va tous s'exiler à Berlin ou ailleurs comme notre dernier Goncourt, parce qu'il ne s'agit même plus de protester : qu'un prétendu Français prénommé Eric (comme Besson, décidément c'est le prénom des lobotomisés) y pense est déjà le signe que quelque chose est terminé, que nos anciens auront mis un millénaire à bâtir.
Dommage pour Malesherbes !