«Do it yourself», un business fait main
1968. Pendant que les étudiants français balancent des pavés sur les CRS, les hippies américains potassent le Whole Earth Catalog. Créé par Stewart Brand, un diplômé de biologie à Stanford, ex-para et membre de la première communauté baba cool, cet ouvrage bricolé jette les fondations de la culture do it yourself. En 64 pages, on apprend à tout faire soi-même, du kit de tissage aux tentes en passant par la flûte en bambou. Devenu culte pour tous les chevelus prônant le retour aux sources, ce manuel connaîtra un incroyable succès jusqu’à l’essouflement du mouvement à la fin des années 1970.
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Do it yourself : Le nouveau rendez-vous des bricolos du monde
« Arrêtez d’acheter, faites-le vous- même » est le mot d’ordre du Maker Faire, festival au succès grandissant, initié il y a quatre ans par le magazine américain Make, bible des bricoleurs. Constructeurs de roquettes et tricoteurs, brodeurs et soudeurs, jardiniers et codeurs, artisans et technophiles, savants fous et MacGyver du dimanche s’étaient, cette année encore, rendus en masse à la grand-messe annuelle du Do it yourself (DIY). Le plus gros rassemblement mondial de geeks s’est tenu les 30 et 31 mai à San Mateo, au sud de San Francisco. Plus de 600 makers sont venus montrer leurs créations à 78 000 visiteurs.
Music & Bits; Do It Yourself
Music & Bits; Do It Yourself
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A personal story of 30 years of music. From the Do It Yourself Of Punk to the Do It Yourself of nowadays technology ...
Do It Yourself, mais avec les autres
L’innovation n’est plus l’apanage des chercheurs ou créateurs d’entreprise. La fonction, qui occupait -et occupe encore- des pans entiers de l’industrie et des services, était un métier à part entière. Aujourd’hui, c’est aussi une passion, voire un passe-temps, pratiqué par des amateurs dans le monde entier (voir “Nous sommes tous des hackers !”), mais également, grâce à l’innovation sociale, un des moteurs de la cocréation de richesses et de valeurs.
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Do It Yourself, l'injonction de "transports 2.0"
Dis, c'est quoi l'information-voyageur ? Question volontairement naïve, mais qui exprime les mutations actuelles de ce mot-valise. A l'origine information destinée au voyageur, elle devient aujourd'hui co-produite par ce dernier. La révolution provient du sempiternel web 2.0 et de ses réseaux collaboratifs. Nous l'annoncions il y a un an, surveillant les tentatives florissantes d'infotrafic sur Twitter et les communautés de partages d'information telles Clever Commute. La génération 2.0, celle du "DIY" (Do It Yourself), sait jouer de son expérience pour bouleverser un peu plus le jeu des gouvernances dans les transports.