Mon cerveau est ainsi fait qu’un mot et/ou une phrase entendus et/ou aperçus suffisent à démarrer, sur mon gramophone céphalique, l’une des nombreuses chansons qui se stockent quotidiennement dans ma mémoire depuis maintenant 32 ans.
Ma récente escapade à Amsterdam a entre autres automatiquement déclenché un peu de Brel et de Leloup dans mon mini juke-box perso. Des tounes auxquelles je m’attendais. Mais la capitale des Pays-Bas a aussi réussi à me faire siffler un air de rumba bien connu, chose à laquelle je ne m’attendais pas vraiment.
Je pourrais vous raconter comment ça s’est passé, mais puisqu’on dit qu’une image vaut mille mots je vais laisser la photo que j’ai prise vous raconter :
Bamboleo, bambolea... Porque mi vida, yo la prefiero vivir asi... Bamboleo, bambolea...
Et pour ceux qui n’ont pas compris ou ceux qui ont envie de danser le bamboleo :
Oh, et tiens… Tant qu’à y être, un peu de Brel aussi:
Et pour ceux qui ont envie de savoir pourquoi Isabelle est allée r’voir les toxicos à Amsterdam, voici Leloup:
P.S. Je tiens à préciser que par respect pour mes pairs, je ne partage pas illico tous les airs qui dansent gaiement dans ma tête. Parce que mon répertoire est vaste et vatié et je crois que ça pourrait causer des divorces d’amitié…