Mais il paraît que les délibérations ont traîné. Que le choix n'a pas été sans peine. Qu'un ronronnement se faisait entendre dans le Salon où le juré délibérait. Et que, selon certaines sources absolument pas dignes de confiance (Julien Allès, pour ne pas le citer), des bruits - et non de couloirs - se firent insistants... C'est qu'il ne faut pas prendre les femmes du Fémina pour des canards sauvages...
Cette année, le jury féminin du Femina aura donc récompensé Gwenaëlle Aubry, pour Personne. Comme l'a dit un journaliste présent durant la délibération : « Personne ne pouvait avoir le Fémina, GalliGraSeuil était déjà gavé. »
Mais il paraît que les délibérations ont traîné. Que le choix n'a pas été sans peine. Qu'un ronronnement se faisait entendre dans le Salon où le juré délibérait. Et que, selon certaines sources absolument pas dignes de confiance (Julien Allès, pour ne pas le citer), des bruits - et non de couloirs - se firent insistants... C'est qu'il ne faut pas prendre les femmes du Fémina pour des canards sauvages...
Mais il paraît que les délibérations ont traîné. Que le choix n'a pas été sans peine. Qu'un ronronnement se faisait entendre dans le Salon où le juré délibérait. Et que, selon certaines sources absolument pas dignes de confiance (Julien Allès, pour ne pas le citer), des bruits - et non de couloirs - se firent insistants... C'est qu'il ne faut pas prendre les femmes du Fémina pour des canards sauvages...