On s'enfonce de plus en plus dans l'hiver comme on s'enfonce dans le temps de la vie, ce n'est pas la naissance ces bruits de vent, de la colère un peu, on dirait, et le lent balancement des feuillages derrière la vitre nocturne, quelque chose qui gronde on dirait; les épaules alourdies par le manteau, le corps serré dans des vêtements chauds, s'imaginer nu dans la chambre relève du fantasme!