L'homme est en permanence conditionné par autrui. Tant qu'il se croit heureux, il ne remet pas en cause ce conditionnement. Enfant, il trouve normal qu'on le contraigne à avaler des aliments qu'il déteste,c'est sa famille. Adulte, il trouve normal que son supérieur l'humilie, c'est son travail. Marié, il trouve normal que sa femme lui fasse des reproches permanents, c'est son épouse. Citoyen, il trouve normal que son gouvernement réduise sans cesse son pouvoir d'achat, c'est le gouvernement pour lequel il a voté.
Beaucoup sont prêts à se battre bec et ongles pour qu'on ne leur ôte pas leurs chaînes. mais li y a des choses dans la vie qui surviennent soudainement et sont considéré comme du malheur exemple ”accident, maladie, rupture familiale, déboires professionnels”. Ces crises terrifient mais, au moins, nos déconditionnent provisoirement, et on sera ôté de ses chaines mais hélas Très vite, on part à la recherche d'une autre prison. Le divorcé est pressé de se remarier. Le licencié accepte un travail plus pénible encore. Cependant, entre le moment de malheur et celui où on retrouve une autre prison, on aura joui de quelques instants de lucidité, de répit Il aura entrevu alors ce qu'est la vraie liberté. Même si, en général, cela l'a plutôt effrayé d’être hors des son prison.
on reste toujours a la recherche de la vrai liberté
“idée inspire du texte Edmond Wells, l’empire des anges de Bernard Werber P 249/250 Edition 12 2008”