C'est sale, parfois ça suinte, souvent ça meurt. Mais c'est toujours avec un filet de jazz dans le saxophone et quelques grammes de tabac dans une pipe.
« Depuis le premier « Brouillard au Pont de Tolbiac » paru en 1982 (eh oui !!!...) avec Malet et Tardi aux manettes, je n'ai jamais loupé une seule des sorties de Nestor Burma dans les rues des différents arrondissements de la capitale. Et je n'ai jamais regretté. »
Retrouvez notre chronique de L'envahissant cadavre de la place Monceau, Léo Malet, Moynot