Le temps des cauchemars

En ce moment, c'est cauchemars à la maison pour gars de (très) bientôt sept ans.
Comme chacun sait, un cauchemar est un état d'oppression ou d'étouffement qui survient durant le sommeil. C'est par extension un rêve pénible ou effrayant qui réveille le dormeur en le laissant dans un malaise ou dans l'angoisse. C'est en tout cas un univers terrifiant, effrayant, qui tourmente.
Alors nous cherchons le tourment. Ce qui a pu déclencher le bazar. Mais aussi, plus au fond, dans ce qui hante le gaillard. Pas évident. Le mec a de l'imagination. Et ça grandit sous le cuir. C'est en tout cas assez impressionnant. Quasiment réglé comme une horloge. Ca déboule vers 23 h. On le retrouve assis sur son lit. Tout en sueur. Les doigts noués. A chasser une menace, un danger, des ennemis, parfois dans une langue étrangère. Parfois même, il est limite somnambule. Et puis ça passe. Se rendort. Le matin ? Frais comme un gardon.
En baguenaudant dans les connaissances liées au sujet, via wikipédia notamment, on se dit que c'est pas rien, un cauchemar. Ce qui peut en générer ? Le stress résultant d'une situation identifiable de la vie actuelle du rêveur qui suscite également des angoisses dans la vie éveillé, comme des examens, la peur d'être puni, une faute commise, etc. Mais pas que. D'autres cauchemars apparaissent sans cause apparente et ne s'expliquent pas non plus pour le rêveur. Ils sont l'expression de conflits internes importants qui ont été refoulés, comme par exemple des désirs et besoins individuels et les obligations et devoirs imposés ou encore, les conflits entre des buts contradictoires entre lesquels l'individu n'arrive pas à choisir.
Y'a qu'à :-)