Nouveau tournant dans l’écriture du « Grand amour du Petit Prince ». Je propose au lecteur la suite de la « genèse » de ce travail d’écriture en fournissant en trois épisodes le bilan de la réunion que j’ai adressée également à mes collègues.
La réunion sur « le Petit Prince » a eu lieu jeudi 5 novembre entre 12h30 et 14h00. Une bonne occasion de réajuster le programme en équipe et surtout de concilier les aspirations.
Nous sommes de plus en plus nombreux à investir ce projet et les ouvertures proposées sont diverses et riches de potentialités, d’autant que chacun a enfin lu ou relu l’œuvre et l’a redécouverte à sa façon...
En histoire-géo, Sylvie note un certain nombres de pages qui l’intéressent directement : le Sahara, page 12, la terre page 21, le baobab page 26, les couchers de soleil page 32, la rotation de la terre d’un pays à l’autre page 33, les volcans page 46 , les étoiles page 63, la durée du jour page 67, le géographe page 72 à 75, l’Afrique page 80, la montagne et l’écho page 97, l’eau dans le désert page 97, les puits dans le désert page 99. Voilà une source à creuser en atelier d’écriture.
En musique, Christian a commencé à travailler sur une
variation musicale fondée sur une « réécriture sonore » de la 1ère page du Petit Prince, ce qui ouvre directement une
fenêtre dans l’œuvre de Saint-Exupéry... Idée intéressante qui pourra s’intégrer au début, au moment où les fresques réalisées en EPS
donneront une première lecture – très visuelle – de la pièce. En Arts Plastiques, Laureline va s’atteler à la tâche en réalisant des symboles à partir des « étiquettes » fournies
par le scénario. Cette réalité des fresques me rappelle en tout cas la nécessité de diviser la pièce en six scènes qui auront lieu, après le prologue, dans cinq espaces différents : la salle
de dessin, celle de SVT, celle de français, celle de maths et celle d’histoire géo.