C'est alors que d'autres syndicalistes ont distribué au public des tracts pour dénoncer l'opération de destruction de grande ampleur qui touche actuellement la cité universitaire Jean-Zay d'Antony (Hauts-de-Seine), l'une des plus importantes d'Europe.
Ce parc, composé de plus de 2000 logements étudiants construits au début des années 50 (majoritairemen
Valérie Pécresse assure avoir signé, en forme de contrepartie, une convention « avec le conseil général des Hauts-de-Seine prévoit également un engagement du conseil général pour construire 3.000 logements, avec un objectif de 1,2 logements construits pour 1 détruit et avec des chambres de 14 m2 au lieu de 10 m2 et qui seront aux normes » rapporte l'AFP.
Si Valérie Pécresse est mise en cause pour laisser faire cette opération, c'est aussi et surtout Patrick Devedjian qui est attaqué. En effet, le président du conseil général des Hauts-de-Seine, se bat déjà depuis plusieurs années pour réduire les dimensions de la cité universitaire d'Anthony, ville dont il a été longtemps maire.
L'Unef met en ligne sur son site un lettre ouverte à Valérie Pécresse afin de protester contre l'ensemble de sa politique concernant l'enseignement supérieur.