J'ai déjà écrit sur ce blog plusieurs fois sur l'entreprise Lippi. Depuis déjà quelques mois, Lippi propose à ses collaborateurs d'utiliser tweetter en interne, notamment pour gérer la qualité de services.
Avec l'accord de Lippi, je publie ci-dessous les twits de 2 collaborateurs de Lippi (Rondeau et Amélie). Qui montrent bien à quoi cela sert (mais pas très lisible, désolé).
Un peu plus de 120 personnes sont abonnés au twitter de Lippi sur 350 salariés environ. Mais tout le monde à terme y aura accès. Bref, on utilise de plus en plus au sein de l'entreprise tweeter (qui je le rappelle, est gratuit) que d'autres applications. Vous ne pouvez pas avoir accès au tweeter de Lippi qui reste interne. Par contre, les collaborateurs de lippi peuvent, en plus avoir accès à des twits publics : le mien par exemple.
Cet espèce de couteau suisse numérique améliore la productivité dans l'entreprise de façon incroyable : un problème qui prenait avant quelques jours à résoudre prend maintenant quelques minutes : relation directe entre les protagonistes , plus de relations pyramidales entre services qui "bouffent" du temps, de bordereaux à remplir, etc... D'ici à ce que Lippi proposent à ses fournisseurs et clients le twit Lippi...
Et dire qu'ils y a des gens qui se demandent à quoi sert tweeter. Personnellement je l'utilise dans 2 optiques avec tweetdeck (sur mac, mais il doit exister la même chose sur PC).
1/ faire connaître les posts de mon blog (je dois avoir plus de 1000 followers).
2/ savoir en temps réel ou non ce qui se dit sur un thème donné qui vous intéresse (vous pouvez aussi suivre ce que l'on dit sur votre entreprise). Dés que quelqu'un dans la monde fait paraître quelque chose sur un thème que vous avez choisi, tweetdeck vous en informe en émettant un petit bip et en affichant une notification en haut et à gauche de l'écran pendant quelques secondes. Et avec les tiny URL vous faites pas mal de chose avec seulement 140 caratères.
A mon avis, Tweeter qui ne semble toujours pas avoir de business model, va rendre le web temps réel. Donc le business. Les entreprises françaises decvraient s'y mettre. Avec un hic : les cadres traditionnels, qui sont somme toute des intermédiaires risquent de voir leur valeur ajoutée s"amenuiser avec ces nouveau processus. Enfin cela peur se discuter.