C’est en tout cas ce qu’explique Jean-Claude Guillebaud dans le TéléObs du 22 octobre 2009, page 114 :
"La dislocation du langage"
Extraits :
« Le créole en gestation des nouvelles townships européennes »
« Terrible impression que cette déconnection langagière ! Peut-on encore songer à enseigner quoi que ce soit lorsque, au sens littéral du terme, « on ne s’entend plus » ? »
« Avec le langage, ce qui disparaît, c’est un « monde commun ». »
Après la suppression du service national, il restait l’école républicaine pour enseigner "nos ancêtres les gaulois". Aujourd’hui, même quand les gosses y vont, ils ne comprennent pas : ils sont dans la France à Diam’s, une autre France quoi.