Contrairement à Commander – Napoleon at war, le suivi / compte rendu des modifications introduites par le premier véritable patch pour Time of wrath n’aura pas été si long. C’est sans doutes une bonne chose pour les éventuels indécis s’interrogeant encore sur l’opportunité d’un tel achat. D’ordinaire, l’introduction d’un correctif aussi conséquent que le patch 1.6, non par la taille, puisqu’il ne représente qu’environ 40 Mo mais par l’ampleur des améliorations et modifications annoncées, ne peut constituer qu’une avancée substantielle en termes de confort et d’agrément de jeu pour l’utilisateur confiant. Comme vous allez pouvoir le constater, tout comme j’ai pu le faire, les choses ne sont pas toujours aussi simples, malheureusement…
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On voit ici nettement que le gamma de la carte a été augmenté.
Plutôt que de longs discours, il m’a semblé plus judicieux de vous présenter une sorte de comparatif visuel, du genre avant/après. Ceci afin que vous puissiez mieux apprécier ce qui a changé… en bien comme en pire. Effectivement, au-delà des modifications diverses et nombreuses apportées au système de jeu, pas toujours très aisées à mettre en évidence de manière concrète, il faut bien reconnaître que ce sont surtout les changements importants, en termes de confort visuel et d’ergonomie, qui frappent de prime abord. Tout premier agrément non négligeable, le numéro de version complet apparaît désormais en bas, à gauche de l’écran d’accueil. Une petite attention qui ne coûte rien mais rendra de fiers services aux utilisateurs, dans l’éventualité d’ajouts de patches que l’on souhaite encore nombreux et inspirés.
La version 1.0.
La version 1.60.
Sur les deux captures ci-dessus, on remarque plusieurs des différences majeures appliquées entre ces deux versions du jeu. Tout d’abord, les symboles 2D remaniés sont bien plus agréables et lisibles, avec des valeurs arrondies (A.P.). Les mises en surbrillance plus claires et parlantes ; vert/jaune/rouge, selon le nombre de points de mouvement restant (ici non affichés, grâce à une option bien pratique). Ensuite, le curseur a été modifié (curseur Windows par défaut). La palette d’icônes à droite également. Elle ne concerne plus que les options réellement envisageables pour l’unité. Même chose pour le menu d’ordres, qui perd ici l’action de déploiement (grisée) et indique à présent l’intitulé de l’unité avec un texte aligné à gauche (ce qui n’exclut cependant toujours pas certains débordements, malheureusement…). On remarque également les nouveaux symboles désignant les ressources (mines de charbon – coal mine) ainsi que le niveau des villes (Cracovie). Enfin, les scenarii ont subi quelques ajustements. Ici, la valeur S.M.P. (Strategic Movement Points – points de mouvements stratégiques) passe de six à douze pour l’Allemagne. Au rayon désagréments, bien qu’il s’agisse de la même unité de blindés sur chaque capture (5ème Panzer division), on note que l’image générique sur la fiche d’informations est à présent erronée…
L’écran de sélection des scenarii s’enrichit d’un « Tutorial » et d’une illustration photographique.
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