Suite à toute la polémique sur la présentation de Jean Sarkozy à la tête de l’Epad (établissement public d’aménagement de la Défense), le président à reconnu que “c’était sans doute une erreur”, a-t-on déclaré hier à l’Elysée. Selon cette même source, le chef de l’Etat ne s’était pas opposé à la candidature de son fils cadet (23 ans) parce qu’il ne s’agissait pas d’une fonction “rémunérée”. “Le président de l’Epad n’a pas de salaire, pas de bureau, pas de secrétaire, pas de voiture, pas de chauffeur”, a-t-on ajouté. Le chef de l’Etat, qui avait lui-même présidé l’Epad lorsqu’il était élu du département des Hauts-de-Seine (ouest), a considéré qu’il avait “mal raisonné”, selon cette source.