Encore un coup de coeur visuel ! Lorsque j’ai découvert l’univers de cet artiste plasticien, je suis tombé sous le charme.
Il n’y a que peu d’informations sur Jason Barnhart, mon article sera donc le plus court de l’histoire de ce blog… Je respecterai l’addage “le poid des mots, le choc des photos”.
Jason, natif de San Francisco, se fascine pour l’univers du microscopique, non pas celui de l’infiniment petit et scientifique, mais celui de l’imaginaire.
Avec des objets du quotidien, il recrée des saynettes existentes, dramatiques ou poétiques. Le point de vue photographique de Jason Barnhart est tout simplement fascinant. Votre regard se perd à découvrir ce qui fait de cette photo un fake, quel élément vous met la puce à l’oreille. Chaque détail est mûrement réfléchis, positionné, il manie l’éclairage et la plus grande maitrise et minutie.
Cette série Oil spills, cigar fire and flower growers, se distingue par les dimensions des personnages et les perspectives utilisées. Jason utilise l’échelle HO, plus connue dans le modélisme férroviaire. Pour les plus scientifique : elle dérive de l’échelle O, puisqu’elle signifie Half-O (demi-zéro), la reproduction de la voie normale à l’échelle HO donne un écartement réduit de 16,5 mm. Hey, vous jouez moins les malins là !
En voyant ses travaux, je me suis souvenu de ceux de l’artiste anglais slinkachu dont nous parlerons prochainement.
Mais en attendant je vous laisse découvrir les travaux photos de Jason Barnhart sur son site .
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