L'article du site MoneyWeek.fr que j'ai trouvé évoque le problème que j'avais expliqué dans ma note du mois dernier : Copies et contrefaçons, jeux très anciens ! A la question "qu'est-ce qui différencie le faux de la copie?", l'auteur de l'article répond "l'intention du vendeur".
L'auteur rappelle que le marché de l'art est un marché spéculatif et que de ce constat, il est facile compréhensible que s'est développé, depuis l'antiquité, le métier de faussaire.
Enfin, l'auteur évoque les terminologies (parfois trompeuses) utilisées par les vendeurs. Il faut se méfier de signé .... estampillé ..... attribué à ........atelier de ........... à la façon de .......... Ces expressions ne signifie pas la même chose. Pour plus de renseignement, on peut voir le décret du 3 mars 1981 qui définit les mentions légales des certificats d'authenticité et du descriptif des oeuvres pour plus de précisions.
Source : http://www.moneyweek.fr/conseils/01986/art-tableaux-faux-copie-conseils.html