Un mois après, le meurtre de Marie-Christine Hodeau dans l’Essonne par un délinquant sexuel récidiviste, le texte renforce le dispositif de suivi. Michèle Alliot-Marie a déclaré
"Il ne s’agit pas de légiférer, comme on l’entend parfois, sous l’emprise de l’émotion, mais il s’agit de répondre à une problématique qui est extrêmement perturbante pour notre société".
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