Magazine Internet

6 bonnes raisons de ne pas aller chez Planet Saturn

Publié le 03 novembre 2009 par Nico²

Planet Satan

Nouvel essai à Planet Saturn (Planet Satan as we call it) Lyon Cordeliers hier (et avant-hier aussi) : Madame cherche un PC portable, rapidos. Je fais quelques magasins lyonnais (Carouf, Fnac…), et finalement j’arrive chez ces cons de Planet Saturn Cordeliers.

Je ne comprends pas comment cette enseigne arrive à survivre : si je me base sur mon expérience cordelienne, ils ne doivent pas vendre grand chose, ou alors il existe une nouvelle race de pigeons sur terre, encore plus grosse que le pigeon commun « Pigeonum Shopinggum »…

En bref, voici 6 bonnes raisons de ne pas acheter de matos informatique chez eux.

Raison n°1 : les prix

Non, c’est pas cher, c’est très cher ! Surtout le rayon informatique. A fortiori le stockage (un DD chez eux, c’est 20 à 30% plus cher que les prix courants sur Internet).

Raison n°2 : le choix

Pas très fournis, les rayons présentent 2 à 3 (pas toujours) modèles par gamme de PC, sauf pour les ultraportables, où là on a le choix entre 6-7 modèles. Idem pour les composants où le choix est tout aussi inexistant : pas moyen de jouer la concurrence entre marques (à se demander s’ils ne sont pas maqués avec certaines marques).

Raison n°3 : le bordel ambiant

C’est peut être bien rangé le matin à l’ouverture, mais que ce soit à midi ou le soir, les rayons sont en bordel le plus complet. On circule difficilement dans les allées, il manque la moitié des prix dans les rayons, les produits ne sont pas à leur place.

Raison n°4 : la queue aux caisses

Il faudra vous armer de patience après 18h00 : en général il n’y a qu’une seule caisse ouverte.

Raison n°5 : des vendeurs aux abonnés absents

J’ai fait le test. J’ai zoné au rayon informatique pendant un bon moment avant de craquer : je me suis amusé à fermer tous les portables en rayon, je suis allé derrière la console du vendeur, j’ai pu matter son chiffre de vente de la journée (si j’en crois l’affichage, ils vendent à perte en ce moment). A part le guignol de la sécurité qui est venu me surveiller et qui est reparti lorsque je lui ai fait un grand sourire, personne n’a moucheté. De toute façon, quand vous arrivez à chopper un vendeur pour un renseignement, soit il vous répond qu’il est fatigué (véridique), soit il vous raconte des bobards (testé au rayon photo).

Raison n°6 : un site Internet à chier

Qu’ils ne souhaitent pas faire de vente en ligne, c’est une chose, que leur catalogue ne soit pas consultable c’en est une autre. En gros, pour connaitre leurs produits et les prix de ces produits, il faut aller sur place. Ca sent le piège à plein nez : tu te tapes les bouchons pour venir, t’es fatigué, t’es sur place, tu te sens obligé d’acheter chez eux. En plus de ça leur site est une vraie usine à gaz, on ne trouve aucune information utile.

Pour conclure

Alors ? Plus radin, plus malin Planet Satan ? (je voudrais bien savoir sur quelles données ils se basent pour s’autoproclamer n°1 européen…)

Vous en pensez quoi ? Mêmes résultats dans les autres magasins ? Quid de Planet Saturn La Soie ?

ps: vous vous doutez bien qu’on n’a pas acheté le portable chez eux !



Retour à La Une de Logo Paperblog

LES COMMENTAIRES (1)

Par Geant13
posté le 07 mars à 16:14
Signaler un abus

Une autre bonne raison : le nouveau directeur de Cordelier est un vrai menteur, calculateur et manipulateur... des collègues Planete Saturn du magasin de la Valentine où ce "directeur" a été formé ont failli être licenciés peu de temps après son arrivée suite à un acte de malveillance de ce cadre peu scrupuleux qui tentait de réduire les charges sociales via des licenciements complètement calculés... ce serait donc une 7ème raison de ne pas aller à PS Cordeliers : ne pas encourager ces méthodes de management vides de toutes valeurs humaines (pour rappeler l'affaire : http://www.laprovence.com/article/region/il-demande-au-gardien-de-pieger-des-employes)

A propos de l’auteur


Nico² 101 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossier Paperblog

Magazine