Et oui, toutes les bonnes choses ont une fin. Mais le défit mot revient le mois prochain. Vous avez été quelques unes (pas nombreuses, vilains les autres !!!! Manque d’inspiration ? ou pas de temps à courir partout, le défi ne vous plait pas ?) En tous les cas, voici celles qui ont participé et je les en remercie très chaleureusement (pas de cadeaux, mais ma reconnaissance éternelle) et je leur, ainsi qu’à vous, donne rendez-vous le mois prochain :
Ckan
Angélita
On pourrait en faire une pizza
On pourrait en faire une fleur Voilà une idée qui m’effleure J’imagine déjà son odeur Celle qui parfumerait les cœurs Le mieux pour cette damoiselle
Il y a bien la margarita
Mais cela ne me convient pas
De faire d’elle ce plat làDont le prénom rappelle Angel
Ce prénom qui n’est pas commun
Parfum qu’aime cette jouvencelle
Qui est sans doute la plus belle
De toutes les méditerranéennes
Surtout celles de la canebière
C’est de pouvoir être bien fière
De porter comme une bannièreet résonne comme un parfum
Après Virginie B & Chocoladdict et leur défi sur l’automne, voici venu le tour du défi d’Angélita. Alors, qu’est ce qu’elle nous demande donc la miss ? C’est tout simple, elle nous donne un thème par mois et nous devons commenter, raconter, photographier, dessiner et tout autre verbe approprié en fonction du sujet imposé. En ce mois d’octobre, le thème est : ANGELITA. Et oui, elle même … Je ne la connais que depuis peu, et pour moi, Angélita représente avant tout le monde des parfums et plus particulièrement le monde d’Angel de Thierry Mugler. J’adore prendre le temps de lire ses interviews parfumées, d’ailleurs, ça me fait penser qu’il faut que je m’y mette Mais ce n’est pas tout, Angélita aime également parler de littérature, de politique, de musique (Ahhh, Linkin Park et de bien d’autres choses encore qui fait que j’aime bloguer chez elle.Si vous ne la connaissez pas, je vous encourage vivement d’aller faire un tour sur son blog.
Angie
Et pour finir, un défi-mot pour le moi d’octobre crée par Angélita. Le mot à inclure est justement Angélita. Voici ma version du défi-mot.
Framboize
Angelita M, que j’ai découvert y’a 5 minutes, en cliquant de lien en lien…(un blog de plus à suivre…bah voyons, comme si je n’avais pas assez de blogs à suivre moi …) propose un piti zeu ! (Oui, j’aime bien parler le » 2ans et demi » moi !)
Donc, son piti zeu c’est un défi mot .
C’est quoi çà ?Bah c’est expliqué là !
Le défi mot du mois est : ANGELITA ! (dingue, dingue, dingue)
Du coup, je « recheufli » et …. … tout de suite me vint à l’esprit un souvenir de ma plus petite enfance.
Ma nourrice (de quand j’étais toute petite) elle s’appelait Angélita.
(violons,larmes à l’œil et tout !)
Je n’avait pas pensé à elle depuis …. le siècle dernier…!
J’ai appris il n’y a pas longtemps (genre 8 ans) pourquoi ma mère me faisait garder par Angelita…Non pas parce qu’elle (ma mère) allait travailler, non !
Elle s’est fait entretenir par son mari (mon père, oui, c’est çà, vous suivez bien !) pendant toutes leurs années de mariage.C’était comme çà, au siècle dernier…En fait, ma mère me faisait garder parce qu’elle allait s’éclater au plumard avec son Jules…
Ça jettes un froid là , nan ?
Ayant été trompée à moultes reprises par mon père, elle a décidé d’aller voir ailleurs…
Du coup, Angelita me gardait…
Je me souviens d’elle, pourtant j’étais petite (genre de 2 à 4 ans).Voilà, allez, je vais me prendre une Margarita, ça va me remonter le moral !
Madame Kévin
Peau de vache
Lui : On va prendre un verre chez Angélita ?
Elle : Si tu veux.
Lui : Cache ta joie.
Elle : Pour une fois que je dis oui sans pinailler, tu devrais t’estimer heureux.
Lui : Il faut qu’on parle.
Elle : En général, ce sont les femmes qui disent cela.
Lui : Mais je sais que toi, tu ne le diras pas.
Elle : C’est vrai. Bon ? Tu lances les hostilités ?
Lui : Tu ne m’aides pas.
Elle : …
Lui : J’aimerais te présenter à mes parents.
Elle : Quel intérêt ?
Lui : Je pense qu’ils seraient heureux de te connaître.
Elle : Ils vont vite déchanter. Et tu t’es demandé si, moi, je serais heureuse de les connaître ?
Lui : Tout cela me semble être dans l’ordre naturel des choses.
Elle : Tu as un autre argument plus pertinent ? Parce que l’ordre naturel des choses… ça me laisse songeuse.
Lui : Écoute, ça fait plusieurs mois qu’on… qu’on se voit. A un moment, c’est bien d’officialiser vis-à-vis de nos familles respectives.
Elle : Nos familles ? Tu laisses ma famille tranquille. Jusqu’à maintenant, elle a très bien vécu sans toi.
Lui : Mais mes parents…
Elle : Et il y aurait quoi au menu chez tes parents ? Du gigot et du vacherin ? Je connais déjà le scénario. Au début tes parents vont être un peu timides. Puis ils vont poser des questions qu’ils croient subtiles. A la fin du repas, ta mère me montrera les vêtements que tu portais quand tu étais bébé et qu’elle a gardés pour le jour où elle serait grand-mère. Tout ça avec des larmes dans les yeux parce que, sans émotion, la fête est moins folle.
Lui : Tu es dure. C’est sûr que, vu comme ça, ça donne pas envie.
Elle : Voilà, ça donne pas envie. Dès notre premier rendez-vous, je savais que ça finirait comme ça.
Lui : Mais ça ne finit pas, ça commence !
Elle : Je n’ai pas de chance avec les hommes : je m’envoie en l’air un soir et je me retrouve quelques mois plus tard avec une belle-famille aussi collante que du papier tue-mouche.
Lui : Alors on fait quoi ? On continue comme ça ?
Elle : Oui !
Lui : Jusqu’à quand ?
Elle : Jusqu’à ce que tu trouves une femme qui accepte de pleurer sur de la layette. Et qui aime le vacherin.
Ce texte est une contribution à un jeu initié par Angélita.
Marlène
éN’ayant pas abandonné le blog une seule fois depuis sa création, je ressens comme un gros besoin de recharger ma batterie.
Je taille donc la route telle une Hell’s Angel (ita) et reviens fidèle au poste le 02/11/2009 à 7H30, la sacoche arrière chargée de nouveaux projets.