Le Temps du 31 octobre consacre une pleine page à un compte-rendu signé Georges Nivat d’un bouquin sur la « terreur stalinienne ». Et c’est sans surprise que je constate que le mot « communisme » n’apparaît pas une seule fois dans les six colonnes que compte cet article. C’est leur métier, il faut que personne n’oublie que le communisme est une philosophie qui n’a que pour seul et unique but le bonheur du genre humain, certes incomprise et dévoyée par le Petit père des peuples.
Ce qui est qualifié aujourd’hui de « racisme » ou de « raciste » est tout ce qui ce que les membres de l’establishment identifient comme une menace pour la position qu’ils occupent – donc plus prosaïquement pour leur source de revenus ou leur plan de carrière - et une opposition ouverte, larvée, voire inconsciente à l’ordre mondialiste dont ils sont les loufiats. Il est donc parfaitement grotesque de parler de « racisme à l’envers ».
Si Mahomet était né au bord d’un fjord scandinave et s’était appelé Olaf et si les musulmans avaient été en majorité de grands blonds aux yeux bleus, il y a belle lurette que l’islam aurait été éradiqué de la surface de terre par les progressistes et autres droits de l’hommistes ouverts et tolérants.