La maison anglaise Southeby's vient de conclure à ce titre une vente - non pas d'Ouzo, mais de lettres, 15 en tout, pour ce montant précisément, auxquelles s'ajoutaient d'autres écrits du poète.
On y apprend quelques détails de sa vie privée particulièrement troublée, et nombre de ces textes sont des inédits, jamais publiés. Le lot a été emporté par un enchérisseur anonyme, précise la maison.
Il pourra alors se régaler des souvenirs de Byron et Francis Hogson qui sont allés ensemble à l'université de Cambridge. Le poète raconte ainsi sa vie, ses opinions, son chien (sic) et ses amours plus ou moins heureuses... Dans un courrier envoyé depuis le Portugal, il se vante même d'avoir accru sa connaissance des obscénités du pays.
La vente a eu lieu mardi.